La magie


La magie

Salem, et les sorcières sur le bûché.

Commençons par le commencement. Lorsque l’on parle de magie, il est difficile de ne pas penser aux sorcières. Quoi de mieux que Salem, donc, pour l’introduction de ce poste ?

Salem.

Salem, un petit village côtier du Massachusetts, qui est malheureusement connu pour ses célèbres procès des sorcières, ayant eu lieu en 1692. Pendant cette période sombre de l’histoire américaine, de nombreuses femmes ont été accusées de pratiquer la sorcellerie et ont été brûlées vives sur le bûcher. Les raisons de ces accusations sont multiples, allant de rivalités personnelles jusqu’à des différences religieuses et culturelles profondes. Les événements de Salem ont laissé une cicatrice indélébile sur la société américaine et sont un rappel effrayant de l’impact dévastateur de la peur et de l’hystérie collective.

Beaucoup utilise la magie. D’autres personnes la confondent avec certaines capacités. Les rêves lucides est un bon exemple dont l’existence a déjà été prouvée scientifiquement.

La magie est un sujet fascinant qui a captivé l’imagination des gens depuis des siècles. Beaucoup de gens l’utilisent pour diverses raisons, croyant que cela leur donne un pouvoir spécial. Cependant, d’autres peuvent confondre ces capacités avec d’autres phénomènes tels que la clairvoyance ou les rêves lucides. Ce sont des exemples dont la science, l’histoire ou la religion ont déjà prouvés l’existence. La clairvoyance fait référence à la capacité de voir les événements à distance, tandis que les rêves lucides permettent à une personne de contrôler et de vivre pleinement ses rêves. Bien que ces capacités puissent sembler magiques, il est important de comprendre qu’elles ont été étudiées et validées par d’autres domaines que la magie.

Les rêves lucides, également appelés rêves conscients, sont des rêves dans lesquels le rêveur est conscient qu’il est en train de rêver et est capable de contrôler ses actions et l’environnement onirique, sous réserve de ce que nous autorise notre inconscient. C’est une expérience fascinante qui permet au rêveur de vivre des scénarios incroyables, de résoudre des problèmes, et même d’explorer leur propre subconscient. Les rêves lucides ont été étudiés scientifiquement par Stephane Laberge, notamment, et de nombreuses techniques ont été développées pour aider les gens à les provoquer. Bien que tout le monde ne puisse pas en faire l’expérience, les rêves lucides offrent une chance incroyable de voyager dans un monde de possibilités infinies.

Qui plus est, bien que ça ne soit pas de la magie, les rêves lucides s’en approchent et, ayant fait plusieurs fois ces expériences, je l’affirme.

Quand j’en parle autour de moi, j’explique souvent ce phénomène extraordinaire par le niveau de conscience.

Imaginons qu’éveillé, nous sommes à niveau de conscience 10. Mort, nous sommes à 0. Lors du repos, nous passons de l’éveil au sommeil léger, niveau 9, lourd, niveau 7, et cetera jusqu’au sommeil profond et paradoxal, niveau 1 ou deux.

Au sommeil paradoxal, nous rêvons et notre corps se répare tandis que notre psychisme fait la part des choses, trie les souvenirs et nous empêche de sombrer dans la folie si nous restions éveillés sans arrêt.

Grosso modo, lorsque l’on arrive à prendre conscience d’être en train de rêver et que nous réussissons à ne pas être expulsé du rêve, nous atteignons l’état de « rêve lucide », niveau 15. Tout ce que l’on ressent, on le ressent « vraiment », au point tel que l’état d’éveil semble être le véritable rêve…

Il y a beaucoup à dire sur les rêves lucides, aussi, je vous invite à rejoindre l’article de blog qui s’y réfère Rêves lucides – Franck Skirole 🙂

Bref, ce genre de capacité s’y approche, de par sa difficulté à l’atteindre, mais n’est pas encore de la magie.

Comment s’initier à la magie et la sorcellerie?

La magie et la sorcellerie fascinent depuis toujours et il est possible de s’initier à ces pratiques mystérieuses. Tout d’abord, il est important de faire des recherches sur les différents types de magie (blanche, noire, etc.) et de choisir celle qui vous attire le plus. Ensuite, vous pouvez commencer à lire des livres sur le sujet et à vous informer auprès de praticiens expérimentés. Il est également utile de pratiquer la méditation pour développer votre capacité à concentrer votre esprit. Enfin, ne sous-estimez pas l’importance de la pratique régulière et de l’apprentissage continu pour progresser dans l’art de la magie et de la sorcellerie. Avec de la patience et de la persévérance, vous pouvez découvrir les secrets de cet univers mystique et envoûtant.

Parce que tout, je dis bien « tout », s’apprend avec l’entraînement régulier.

Et même dans ce cas, nous pourrons user de la méthode de la répétition espacée. Une méthode qui a fait ses preuves et qui est probablement la plus efficace pour intégrer des idées et concepts.

Dans un autre titre, je vous en parlerai plus en détail. Cette méthode oblige une certaine discipline, de la rigueur, mais vous promet l’apprentissage de toute chose.

Aussi, il est à noter que, malgré les croyances populaires, on peut apprendre à tout âge. Évidemment, nous sommes un peu lésés, à l’âge adulte, par la plasticité cérébrale qui perd de son entrain, mais il a (je répète les mêmes mots que ci-haut) été prouvé scientifiquement que les adultes ont un potentiel d’apprentissage aussi grand que les enfants. Autant la plasticité dont je vous ai parlé plus tôt est affaiblie, autant elle est compensée par une expérience que seuls les plus âgés possèdent.

Passer un pacte avec le diable ou avec les anges?

Une autre question forte, à la fois de sens, et de métaphores, selon du quel côté on se trouve.

Nous avons tous des Anges-Gardiens qui nous sont dévoués. Le mien est Caliel.

De la même manière que l’on peut demander à notre ange référent de nous aider, nous pouvons demander aux forces obscurs les mêmes faveurs.

La justice et le bien faisant parti de mon crédo, j’essaierai d’être le plus neutre possible pour ne pas influencer qui que ce soit.

Se poser la question de passer un pacte avec le diable ou avec les anges peut sembler être un choix difficile. D’un côté, le diable peut vous offrir des richesses et du pouvoir en échange de votre âme, mais de l’autre, les anges peuvent vous apporter protection et grâce divine. Cependant, il est important de se rappeler que passer un pacte avec le diable est considéré comme un acte de trahison envers Dieu et peut entraîner des conséquences désastreuses. En revanche, passer un pacte avec les anges peut vous apporter des bénédictions et vous rendre plus proche de Dieu. En fin de compte, le choix de passer un pacte avec le diable ou avec les anges repose sur votre propre foi et votre croyance en ce qui est juste.

Tant à dire…

Vous êtes responsable de la vie qui vous a été donnée et il ne vous sera pas difficile de trouver les référents dont vous avez besoin sur le net.

Si le mystère et le pouvoir de la magie et de la sorcellerie nous enchantent depuis l’Antiquité, l’essence des praticiens d’aujourd’hui reste largement inconnue. Même si plusieurs études scientifiques attestent de certains phénomènes paranormaux, l’art de l’envoûtement soigneusement contrôlé est, pour beaucoup, une source de réconfort et de guérison dans un monde incertain. Pour ceux qui choisissent la voie de l’envoûtement, l’acquisition de pouvoir par la technique est plus efficace sous la tutelle attentive d’un enseignant ou d’un ancien qui peut ancrer fermement les pratiques puissantes dans les valeurs spirituelles et les fondements éthiques. Si vous n’avez aucune idée par où commencer, débutez donc par apprendre un peu la psychologie, cela vous mettra sur la voie, du moment que vous gardez en tête que ce point n’est qu’une première étape.

Ensuite, comme l’ont démontré les procès des sorcières de Salem, il convient d’être à la fois prudent et optimiste lorsque l’on envisage de pénétrer dans un monde surnaturel rempli d’archétypes fracturés et de secrets inconnus. Aller de l’avant dans ce domaine avec respect pour l’histoire et un sentiment de gratitude nous mettra sans aucun doute sur la voie inébranlable de l’illumination personnelle. Ainsi, alors que nous cheminons dans la vie en apprenant à utiliser harmonieusement les pouvoirs naturels et surnaturels pour le bien, souvenons-nous de ceux qui ont honoré les pratiques du flux de travail avant nous, car leurs avancées collectives rendent nos succès ultimes possibles.

Je parle de suivre le bien, mais ceci et le mal ne sont que des idées.

Au lieu de dire : « pour le bien », je devrai dire : « Pour votre idée de la justice ». Car de manière vice-versa, le bien sera le bien des uns, et les maux des autres.

Anecdotes

Avant d’en venir à la conclusion, passons sur ce sujet.

En anecdotes personnelles, nous avons chacun nos propres histoires.

De mon côté, lorsque j’étais enfant (mon père et ma mère ont divorcé lorsque j’avais 5 ans, pour la parenthèse), il s’est passé quelques histoires intéressantes :

Un jour où j’étais très jeune, je souffrais d’une grande douleur à l’œil, j’avais été blessé et ma paupière avait été recouverte d’un cocard violet. D’une simple croix de son alliance sur mon ecchymose, mon père m’a soigné.

Je m’en souviens comme si c’était hier. Je ne sais pas s’il s’agit de magie ou de foi, mais la douleur s’était éteinte en une fraction de seconde dès que la première signature d’alliance avait été accomplie.

Comprenez-bien que j’ai grandi dans une famille de non-croyant et que je me considère aujourd’hui comme agnostique, tout au plus. Je n’ai donc pas été influencé par l’église et je doute d’avoir été pris dans un piège psychologique placebo. J’étais de plus bien trop jeune pour comprendre l’importance potentielle de l’Église.

Il s’agit de mon souvenir étrange le plus lointain, mes parents n’étaient pas encore divorcés, je devais donc être dans la tranche des six ans.

En parlant d’alliance, mon père a un jour été brûlé au visage par le retour de flamme d’un foyer. Son visage brûlé a été signé de cette manière dite plus haut, puis la cicatrisation a fait son effet et, avant qu’on ait le temps de se souvenir de son visage meurtri, il avait guérit, sans en garder une cicatrice quelconque.

Mon père a fait l’armée et a plutôt bien appris son ancien job.

Dans notre grenier, un jour, il a plié un matelas de réserve en deux, puis l’a attaché à une poutre grâce à une corde. Il avait utilisé un nœud marin pour s’assurer de la ténacité de son travail.

Un jour, en pleine nuit, un grand « Boum » a retentit. Ce même nœud marin dont je vous ai parlé avait été détaché. Le matelas s’était trouvé à même le sol, parfaitement déplié. Avec le recul, nous pourrions croire que le nœud avait tout simplement été mal fait, mais sur l’instant, nous avions ressenti une atmosphère oppressante sur nos épaules.

Quelques années plus tard, dans ce grenier isolé et protégé d’une porte couvre-feu nouvellement posée, l’alarme incendie qui s’y posait a retentit. Sans raison, une nuit d’un frais printemps.

Je dormais la chambre qui juxtaposait la porte du grenier cité. C’est moi-même qui ai réveillé mon père pour l’avertir.

À cette époque, ma chambre avait été une partie du grenier, ensuite scindé pour y composer une grande chambre plutôt agréable. Souvent, alors que j’étais monté du premier étage (où se trouvait jadis ma chambre) pour le second, où se composait, autrefois, uniquement le grenier, je me plaignais d’entendre des voisins lointains qui avaient leurs musiques à fond de balle et qui m’empêchaient de dormir. De par mon éducation, je n’avais pas pris l’habitude de me plaindre, mais quelques fois, j’en ai fait référence à mon père. Un soir, il est monté, mais il n’avait rien entendu, même en tendant l’oreille. Il m’a même réprimandé. Je devais avoir moins de dix ans, à mon souvenir. C’était dans cette même période où l’alarme incendie avait retenti sans raison.

Plus tard, mon père et sa nouvelle femme ont eu des enfants, deux petits-frères que j’aime, même s’ils m’en ont fait bavé.

C’est lorsque l’aîné des deux est devenu plus grand que mon père s’est senti mal à l’aise dans la maison.

La nuit, mon jeune frère se levait, endormi, et allait rejoindre la chambre des parents, puis s’arrêtait à leur porte et les regardait dormir. Il y avait de quoi être mal à l’aise. Nous mettons son ancienne démarche sur le compte du somnambulisme, mais au fond, nous redoutons qu’il y ait eu autre chose.

Bref, mon père a demandé de l’aide à l’abbé Baltazar (il porte bien son nom, celui-là =’D). Apparemment, le problème n’était ni au grenier, ni au premier étage, mais dans la cave. Il a « exorcisé » la maison, si je puis dire, nous informant que des prisonniers de la deuxième guerre mondiale y avaient été abattus.

Des années plus tard, indirectement de mes liens familiaux, il y a eu une autre petite histoire :

J’ai été logé, en terme de vacances vers la fin de mon adolescence, chez mon frère aîné (du côté de ma mère, cette fois-ci). J’ai parlé la moitié de la nuit avec des amis de part le monde. Il y avait une fille du Québec, un garçon de France, puis moi, de la province Luxembourgeoise belge. En vidéoconférence, les deux ont vu quelque chose derrière moi : un point vert inquiétant. Il faisait noir, dans la pièce, la nuit ayant déjà été bien entamée. Quand je me suis retourné pour vérifier leurs dires, le point vert avait disparu. C’est ce qu’ils ont dit, puis il était revenu lorsque je me suis de nouveau tourné vers ma webcam.

Ils riaient jaune, moi aussi. Avec mon esprit un peu cartésien de l’époque, j’ai pensé qu’il s’agissait d’une lumière projetée de mon PC, mais il n’y avait aucune lumière verte qui s’en dégageait. Mon écran était sur la page de la conversation où seul le blanc et le bleu ciel dominaient.

Je leur ai alors raconté quelques histoires que mes proches de la famille ont vécus : telle ma sœur, (un an de plus que moi), qui racontait que lorsqu’elle dormait chez son petit-ami, elle entendait des bruits de pas dans l’escalier qui, ensuite, passaient devant sa chambre, pour après s’arrêter à celle à côté.

D’après son petit-ami de l’époque, il s’agissait de la grand-mère décédée qui continuait, malgré son trépas, à monter les escaliers pour rejoindre sa chambre. Toujours à la même heure.

Il y avait aussi cette histoire d’un petit garçon du village à côté qui avait dit avoir vu un homme (décédé) qui lui avait demandé de déterrer des objets dans un jardin d’une maison laissée à l’abandon depuis longtemps. Le père de cet enfant a été voir par lui-même l’endroit désigné par son fils, a creusé, puis a trouvé un coffre qui contenait tout un tat de papier et d’argent. Les biens de l’homme qui n’avaient jamais été retrouvés jusque-là.

Voyez-vous, la magie existe peut-être bel et bien.

La magie, la religion, la sciences telle qu’on la connaît, le monde des défunts… Tout semble étroitement lié et n’est, en fin de compte, qu’une question de point de vue et d’ouverture d’esprit.

Ce qui nous amène au dernier point du blog :

L’usage de la magie à proprement parler


D’une partie de mes recherches, la pratique de la magie consiste à utiliser des rituels, des sorts et des potions pour provoquer des effets surnaturels.

Pour réaliser ces rituels, vous aurez souvent besoin de quelques objets tels que des bougies, des herbes, des huiles et d’autres outils magiques. Avant de commencer un rituel ou un sort magique, il est important de savoir comment nettoyer correctement votre espace. Ce processus de purification consiste à brûler de l’encens ou de la sauge pour dégager l’énergie d’une zone et créer un espace sacré pour pratiquer la magie.

La magie peut être pratiquée dans différentes traditions, telles que la magie blanche, la magie noire et la magie rouge.

Chaque tradition possède ses propres rituels et sorts que vous pouvez utiliser. Par exemple, la magie blanche est utilisée pour jeter des sorts d’amour ou guérir des personnes malades. La magie noire est utilisée pour des intentions plus sombres telles que les malédictions ou les sorts. La magie rouge est une combinaison des deux, et elle est utilisée à des fins à la fois bonnes et mauvaises.

Les pratiquants de la magie croient souvent en l’existence de forces magiques et spirituelles qui peuvent être appelées pour aider à réaliser des souhaits ou des désirs.

Outre l’utilisation d’outils magiques tels que les bougies et les herbes, certains praticiens ont également recours à la méditation et à la visualisation pendant leurs rituels.

La pratique de la magie peut être solitaire ou en groupe, et peut impliquer l’utilisation d’outils tels que des bougies, des encens et des baguettes magiques.

Il est important de se rappeler que la sorcellerie n’est pas un jeu et qu’elle doit être prise au sérieux. Les rituels et les sorts que vous lancez peuvent avoir des conséquences inattendues, il est donc important de faire preuve de prudence et de se renseigner sur tout sort ou rituel avant de l’exécuter. Avec les bonnes connaissances et le respect du métier, tout le monde peut apprendre à faire de la sorcellerie !

Certains pratiquants de la magie croient que leurs sorts peuvent avoir des effets sur les événements du monde réel, tandis que d’autres voient leur pratique comme un moyen de se connecter avec des forces spirituelles et d’améliorer leur propre croissance personnelle.

Quelles que soient vos intentions, il est important de comprendre les bases de la sorcellerie et d’être conscient de son pouvoir.

La pratique de la magie peut être controversée et mal comprise, et dans certaines cultures ou religions, elle est même considérée comme étant sacrilège ou dangereuse.

Avant de commencer à pratiquer la magie, il est important de faire des recherches et de s’informer sur son histoire et ses traditions afin de mieux comprendre cet art. Il est également important d’être conscient des implications légales, car certaines pratiques sont interdites dans certains pays ou régions.

Il est important de noter que la pratique de la magie implique une certaine responsabilité, et les pratiquants doivent faire preuve de prudence et de respect lorsqu’ils utilisent leur pouvoir pour éviter de causer du tort à eux-mêmes ou à d’autres personnes.

Il est également important de se rappeler que tout le monde ne se sent pas à l’aise ou en sécurité avec la magie, et qu’il est donc important d’être respectueux et attentif aux croyances et aux sentiments de ceux qui vous entourent lorsque vous pratiquez votre art.

Art qui peut être partagé en plusieurs catégories :

D’abord les couleurs, les intentions : Blanche, rouge, noire.

Ensuite les méthodes : Opératoire, naturelle.

Puis les usages : Érotique, divinatoire, émission, réception, sylvestre.

Dans les usages divinatoires, il y a notamment les lecteurs de tarots ou les passeurs d’âmes, qui peuvent répondre aux questions en transmettant les messages des défunts et des anges en utilisant un pendule comme intermédiaire.

Si vous avez lu les anecdotes du chapitre précédent, vous aurez certainement compris que je ne possède pas vraiment de magie, personnellement. Peut-être parce que je n’ai jamais voulu en acquérir.

De mon point de vue, j’en ai été témoin plusieurs fois. Que ce soit une magie de foi religieuse ou bien une magie des défunts, j’ai vu.

Dans ma familles, il y en a d’autres qui en ont été témoins, et certains plus que d’autres.

Au point tel que l’un d’entre eux a semblé être beaucoup plus concerné qu’un simple témoin.

Mon père s’est trouvé une sensibilité de passeur d ’âme, lui qui s’est toujours presque vanté d’être athée.

Ainsi, Olivier Skirole, mon père, à sa manière, me tend à gagner en foi et en croyances spirituelles.

Commentaires récents

  • James R. Johnson
    27 mai 2023 - 10h53 · Répondre

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